lundi 19 mars 2012

Zombies

Un film avec des enfants peints en vert dedans (et ils sont pas contents)
C’est l’histoire d’une mère et de ses deux filles qui, après le décès du père de la famille, se voient obliger d’emménager dans une baraque en ruine, située en plein milieux des bois tout en haut d’une montagne. Déjà que la baraque est dans le trou du cul du monde, il faut en plus qu’elle se situe juste à côté d’une mine où sont morts des dizaines de pauvres n’enfants mineurs.
Dit comme ça, on sait d’emblée que ça pue et que les trois cocottes feraient mieux de refuser cet héritage, ne serait-ce que pour éviter les nombreuses maladies que peut véhiculer une telle insalubrité dans une baraque : du sang sur la porte ? Des matelas couverts de suie ? Un rat dans les Kellog’s ? C’est pas grave, manière dehors y’a des mini-zombies qui veulent leur péter les dents à coups de pelles.
 « Bonjour l’introduction avec les pauvres n’enfants mineurs, tiens, assieds-toi donc à côté du cliché du suspense à trois balles accentué par une musique qui fait peur. On attend la petite fille blonde qui parle aux morts et on peut commencer le film d’horreur, mais pas trop gore hein, on n’est pas des porcs quand même. »


Non mais sans déconner, des zombies de 1m20 qui foutent le bordel dans une bourgade peuplée uniquement d’un décérébré, d’un maniaque et d’un plombier (sans oublier l’épicier un peu pédo), en gueulant dans les bois et en cassant les vitres des voitures à coups de pioche… Si ça ne tenait qu’à moi, je leur filerai une bonne raclée et au cimetière sans dessert !
Bref, un film aux rebondissements prévisibles à 10km, un méchant qu’on sait pas pourquoi il est méchant (mais il est sexe alors ça va), des zombies à deux balles qui devaient s’ennuyer après le tournage des choristes et une histoire à m’en faire décéder d’ennui. En plus court : ce film est grossier et cliché.


1 commentaire:

  1. C'est clair que c'est très mauvais comme film. Ça m'avais bien déçu. Et puis vla la gueule des zombies. Ils sont même pas en décomposition. Ils ont plus le look de fantômes.

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